Evan Bourgeau

Evan Bourgeau vit et travaille à Nice.

Il a été, avec sa compagne d’alors Camille Franch Guerra projeté dans un aquarium pour une discussion sur l’amour, le désir et le partage. A dessiné à l’encre de Chine et sculpté dans la porcelaine des êtres purement imaginaires sans espace/temps approprié. Il a peint à l’huile plusieurs portraits de femmes et d’hommes porteurs de la progéria. Mais aussi des toiles abstraites à l’acrylique en quête d’une matérialisation de l’infini. Des poèmes sur le partage, les spaghettis, le voyage ; une série de « poèmes banales » sur format A4 et a composé avec Tristan Blumel un recueil de « poèmes sur tickets ». A fabriqué de l’homéopathie à partir de cinq teintures mères pour guérir de la nostalgie ; potion qui a ensuite été déversée dans la mer Méditerranée, dynamisée par les vagues, aujourd’hui devenue alors une merhoméopathique de 15CH. Rédigé un texte sur l’empathie et la fiction. Artificié un soir, documentariste inachevé, créateur d’une recette de cuisine, marcheur, collecteur de gants et cueilleur de phrases de rues pour écrire « Les mains isolées », Shimabukuesque convaincu, nudiste performeur pour Benoit Barbagli. Une seule fois une maquette d’un cabinet de psychanalyse dans la continuité de son travail autour du langage intitulé  » Mon psychanalyste est un poisson. Filmé au microscope et projeté en direct avec Tom Barbagli et Tristan Blumel diverses matières sur les parois boisés de la grande coupole de l’observatoire de Nice, répété l’action dans une chambre d’Hôtel ou encore voyagé et photographié Camille dans certains lieux hétérotopiques, comme une action méditative unifiante et légère…

 

 

Informations

Contributions